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#pure.
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[jeudi 21 avril 2016.]

[jeudi 21 avril 2016.]

[jeudi 21 avril 2016.]

Je crois que depuis dimanche, il n'y a pas une seconde où je n'ai pas pensé à toi et à nous.... à ce que tu penses ou à ce que tu fais, à ce que tu éprouves. Il n'y a pas de désespoir tu sais... tout ce qui s'est ouvert c'était immense.

Je t'ai écrit cette nuit, longtemps, je voulais des mots en forme de roses... De tout ce qui se passe autour de moi et qui perd de sa couleur de ne pas pouvoir le partager avec toi.

J'espère que tu ne me lis pas avec agacement. S'il te plaît, parlons nous un peu, vraiment, quoi que l'on se dise, ce serait bien je crois

Tu sais, je ne te demande pas d'abandonner ta colère, parce qu'elle est juste, ni ce que tu penses... au contraire, ce n'est pas lundi, sur cette route d'épuisement, que l'on pouvait comprendre... maintenant peut-être un petit peu plus, parce qu'il y a de l'intelligence...

Tout ce que je voudrais c'est que l'on regarde au fonds de nous; ce que nous éprouvons.

Que l'on puisse se le dire ou se l'écrire, ou se dire qu'il ne le faut plus, décider de ce que l'on fait. Comment savoir si ce n'est pas maintenant que se revivent les choses ?

Encore plus douloureusement, puisque nous savons que notre désir à un corps et un mouvement. Je suis persuadé qu'il n'y a pas de pensée du désespoir, que le désespoir c'est la défaite de la pensée... et j'écris, sans savoir ce que tu penses...

Comme une averse de mots... si tu préfères que j'arrête de te contacter, écris-le moi simplement.

Moi, tout seul, de moi-même; je ne peux pas, parce que je t'aime. Ce n'est pas une formule, je ne pensais pas que tu existais c'est ce que je t'ai toujours dit, même quand tu souriais de moi, de mon passé. Aujourd'hui la poésie a un visage, et un rythme... Ce n'est pas un discours qui se boucle, ça ne peut pas le devenir.

J'aimerais que tu sois bien, tu sais. Chaque fois que je m'endors ou que je me réveille, dans ce petit espace d'avant ou d'après le réel, c'est à toi que je pense, intuitivement. Après, c'est triste bien sûr, mais la première émotion, c'est une pure joie.